Le bras tendu sous les arbres

Lanfranc ne peut s'empêcher de sourir et rire face à l'interrogation d'Han Wi Tsapa.

"Chez moi, c'est la tradition pour les Prud'hommes, ou les hommes bien élevés, de tendre le bras aux gentes, nobles, dames lorsqu'ils veulent prendre une marche avec elles. Si elle accepte sa compagnie, elle tend son bras sous le sien. C'est une marque de politesse envers les dames."

"bien étrange coutume que voila, il me semble que nous somme capable de marcher sans tomber non ? a moins que cela soit différent pour les dame de chez vous. Mais si cela est une marque de politesse, je ne veut pas vous offencer, mais j'ai bien marcher a mon rythme et ne pas l'imposer a personne."

Lanfranc ne put s'empêcher de montrer une légère déception suite à ce refus délicat.

"Comme vous le désirerai ma chère damoiselle. Mais croyez-moi, vous ne ralentireriez point mon rythme. Ce serait d'ailleurs un honneur de m'accorder au votre. Ce sera une consolation d'ici à ce que les esprits m'accordent à votre coeur."

Han Wi Tsapa contre toute attente éclata d'un rire franc les yeux pétillan.

"Les esprit ne pouront jamais décidé de ce qui ce passe en mon coeur et en mon âme, il peuvent seulement parler a mon esprit et décider de ma destiner. Je suis fille de chef et en tant que tel, je me doit de suivre la voix de la sagesse et du bien être de mon peuple, mais mon coeur est libre de choisir et de vouloir qui ou quoi qu'il désir mon ami."

"Dans ce cas, je vous admire d'autant plus, fille de chef que vous êtes. Votre comportement est digne d'une princesse. Je devrai faire preuve davantage de prouesse pour vous impressionner. Qu'aurai-je à accomplir pour avoir l'insigne honneur d'avoir votre bras altier au mien noble altesse?"[/i]

Han Wi Tsapa lui sourit avec bienveillance et peut être un petit autre chose. (désoler trop tot un peu pour l'amour je crois)

"Mon ami, vous avez déja prouver avir une grandeur d'âme digne d'un chef et de ce que vous appeler un Noble. Je ne vous connais pas encore, mais plus je vous parle et plus j'ai le désir de vous connaitre vous et vos amis. Je suis heureuse de faire de vous des compagnons de route"

"Ces paroles m'enchantent chère dame. Je ne désire rien de plus ardamment que de vous connaître également en discutant avec vous dans la terre bucolique qu'est Bélénos. Votre gentilles m'enchante à chaque parole dont vous m'honorer. Comme je me languis que votre bras soit entrelassé au mien. Je ne ferai que vous rendre les égards qu'on doit à une princesse. Telle est la coutume des vrais chefs en ces terres."

Lanfranc ne put s'empêcher de s'incliner devant la dame.

(trop nice sa, vraiemtn bien dit !)

Han Wi Tsapa Rougit considérablement, peu habituer a tant d'égard

"Et bien si cela vous fait plaisir a ce point, et il semble que cela soit un coutume d'ici je prendrait votre bras jusqu'a la forêt, mais ensuite, je marcherai seule, cela sera mieux pour vous et moi, car se déplacer ainsi en forêt nous ralentirais élasse. "

Le visage de Lanfranc s'illumina à cet acquiescement de la dame à sa demande. Il se prosterna aussitôt à ses pieds pour se relever dignement.

"Vous venez de me rendre le plus heureux des hommes. Sachez que ce bref instant où votre bras touchera le mien me procura plus de bonheur que toutes les gloires qu'un chevalier puisse aquérir en ce monde. Grâce à vous, advienne que la mort vint me frapper à l'instant, je lui afficherais tout de même un sourire épanouis et fiert"

Han WI Tsapa regarde ses compagnons, comprenant que peu ce que parlais Lanfranc.

"Pourquoi parler vous de mourir ? je ne crois pas que cela vous arrivera de si tot, planifier vous de quitter ce monde pour celui des esprits ?"

Lanfranc rit à nouveau

"Ne craigniez rien, je savoir la vie plus que tout grâce à vous et je ne prévois pas la quitter, du moins pas avant longtemps."

Lanfranc tandis son bras à nouveau espérant qu'elle n'aie pas changé d'idée.

Han Wi Tsapa se retourne, lache le bras de lanfranc et regarde les autre membre.

" Qui viendra avec nous chasser ? Je vous enseignerai comment on le fait chez mon peuple et comme cela si vous chassez vous pourai être considéré en homme chez moi."