Poème
Auteur inconnu
LA LÉGENDE DU BUCHERON AVIDE
À l'aube de l'humanité
Quand l'homme, enfant était.
Quand l'Adéon, du futur serait.
Gaea, grande déesse de la vie,
Dame céleste de la nature,
Un jour offrit à l'homme petit
le cadeau le plus pure.
En songe elle lui dit,
que la nature s'offrait à lui.
Que de ressources donneuses de vie
que de feuillages remplis de fruits.
À fendre l'arbre elle lui apprit
ainsi il pu se confectionner un abri,
Ce fut ensuite un petit lit qu'il construisit.
Il arriva rapidement à se confectionner des outils,
et le confort combla sa vie.
Bien des années passèrent ainsi
Et l'homme petit bientôt grandit
De grandes structures il construisit.
Un temple d'abord pour la déesse,
un grenier vint, pour les récoltes.
Et puis ce fut des écuries, un poullailler et un enclo.
Un bon matin il décida , de se construire un grand palais,
Car parmis les hommes petits, lui seul avait grandit!
Si la déesse mere l'avait choisi,
Il pouvait bien dormir dans un bon lit!
Et c'est ainsi qu'il fit batir, par ses amis et sa famille
Un grand palais comme jamais vu.
De grandes murailles formaient la facade,
Plusieurs tourelles ornaient les murs,
L'homme qui avait grandit, commencait a devenir vieux.
La peur maintenant le tenaillait,
Plus les jours passaient, plus il savait
que d'autres l'enviaient de son palais.
Il fit construire d'abord des lances et des piques en bois
Et puis ce fut des boucliers larges comme des portes
Vinrent les chars et les ballistes,
Les catapultes les rejoignèrent.
Et notre homme, maintenant roi
savourait pleinement son pouvoir.
Un soir alors que dormir était impossible,
Il sentit que quelques choses se passait.
Aux alentours plus rien n'allait,
Le son de la nature avait changer.
D'abord ce fut de tres grandes pluies,
qui inondèrent son palais .
Les ours et les loups dans les alentours rodaient.
Il fit apelle à ses alliés, avec ses armes, ils allaient gagner!
Mais la nature sait être féroce,
Et aucune lance ne résista, au coup de griffe qui les frappa.
Le bois pourri se désintegre,
Les bouclier tombent en charpie.
Les hommes petits bien malaisé,
s'en retournent pour se cacher.
L'homme roi etait bien en colere.
Il fit monter sur ses remparts,
Ses meilleurs hommes, tous les plus fort.
Mais alors qu'ils prenaient pied,
le mur d'enceinte s'est effondré, le toit commenca a coulé.
Ce fut le vent qui termina,
de remporté sur l'homme roi,
une victoire dont il se souviendra.
L'homme roi s'est assagit
en armonie maintenant il vit,
et lorsque vint la fin de sa vie,
La déesse mere il remercia.
L'homme petit,
etait à l'orée de sa mort
l'homme sage devenu.
____________________
Version Finale