Les 10 années

Alors c'est ici que j'inviterais tous les gens intéressés à partager leurs visions de ce qui est advenu a la communauté de La Flèche pendant les 10 années du Reset.

Il faudrait d'abord positionné les constante du problème soit le conflit avec Sypto et Argyle, l'arrivée des Galléonites et la durée de leur raid en Illumune.

Voici ce qui a déjà été écrit : https://lafleche.1fr1.net/taverne-de-la-fleche-f2/exiles-ou-non-t725.htm

Il nous reste maintenant à déterminer le comment afin de facilité l'intégration des nouveaux personnage et membres de la communauté.

En relisant le texte de Phil, j'ai eu une idée pour la suite des évènements; Enfin ce qui est arrivé à Malone et p-e a Nagalyngaliel si elle le voit du même oeil que moi.

Donc, malgré son absence à Bélé4 Malone serait revenu de la Confédération, où il était parti voire au bon fonctionnement de la division Urdienne de La Flèche, pour aider à la résistance. Une de ses mission était de récupérer la Carte de La Flèche. Cette mission, couronnée de succès ou non, aurait engagé Sypto à mettre sa tête a prix. ce qui aurait pu lui etre fatal s'il n'avait pas décider de s'enfuir avec sa ravissante amie pour regagné la forêt dont elle s'ennuyait énormément.

C'est un brouillon, il faudrait savoir si on pourrait récupérer la carte hors-game ou s'il faudra le faire in-game avec des point d'influence ou de la statégie. Il me faut savoir si cette histoire convient a Nagalyn.

Cela me semble excellent en perspective. Je puis sans hésiter te dire que Malone aura été fait Grande Flèche pour remplacer Lanfranc dans le Conseil Restreint Supérieur.

On peurrait affiremer alors qu'il serait revenu avec du renfort de la Confédération puisque la division aurait été chassé par les Galléonites et que leur présence était requise en Bélénos.

Pascal, on s'entend que tu seras le principal auteur des actions de la Flèche alors pourrais-tu inscrire ta vision des choses, ça fournira une base pour ceux qui souhaitent contribuer.

Ouais.

Automne 731 :
Malgré la rébellion de la Flèche, Gogol continuait ses activités quotidiennes, méditation, protection de la forêt et sensibilisation auprès des paysans. Il refusait d’embarquer dans une quête d’indépendance, jugeant que l’indépendance ne pouvait justifier une guerre meurtrière. Gogol continuait tout de même à fréquenter la Flèche, refusant catégoriquement de prendre part au combat. Il lui arrivait encore, parfois, de soigner certains blessés mais pas tous, seulement ceux qu’il jugeait pouvoir servir autre chose que la seule indépendance. Pour lui, il n’y avait aucune différence entre un état gouverné par des paysans ou un voïvodat. Restant neutre face au conflit, comme il avait été neutre face au massacre de la Ligue des 45 par le Régent S et sa compagnie. Gogol essaya de se rapprocher des elfes mais ceux-ci semblaient préoccupés par autre chose. Il se concentra donc à son enseignement face au jeune Awassos à qui il avait commencé son enseignement au début de l’automne.

732-733 :
Gogol continua de parcourir la province de Bélénos et surtout les alentours d’Hyden pour sauvegarder le plus possible la forêt telle qu’elle était. Il trouva du réconfort chez certains paysans et fit la rencontre d’homme vénérant un nouveau Dieu, Galléon. Il connaissait bien Galléon puisque celui-ci était le frère de Gaea et savait qu’il fallait parfois prendre garde au tempérament de ses suivants. Il se rendit compte, après plusieurs mois de recherche que les kamis avaient disparus de Bélénos, laissant la nature à elle-même et laissant les druides se charger de sa protection. Gogol, quelque peu démoralisé, prit de la distance avec la Flèche, la jugeant trop meurtrière pour ses goûts. Il renonça d’abord à soigner les derniers membres prenant part à la révolution puis, décida de ne plus partager le Repère de la Flèche et se trouva un endroit, haut-perché, dans la forêt par lequel il pouvait observer tout ce qui s’y passait.

Hiver 733-734
Galléon et sa force arrivèrent et vinrent déstabiliser l’équilibre sur lequel Gogol veillait. Gogol alla donc, de son propre chef, rencontrer les forces de Galléon pour leur faire comprendre l’importance de faire attention à la mère nourricière. Il fut bien accueilli, moins qu’il le pensait mais aucun tord ne lui fut porté. Malheureusement, personne ne voulut écouter ce qu’il avait à dire et il dut retourner dans la forêt. Il fit ceci presque tout l’hiver et réussit à faire passer un peu de son message. L’effort ne valant pas la peine, il vit cependant d’un bon œil le départ de Galléon et de ses troupes au printemps.

Printemps-Hiver 734 :
Voyant les gens immigrer un peu partout, Gogol tenta de mobiliser une petite brigade pour mieux protéger la forêt. Il réussit quelque peu, assurant un semblant de stabilité au plus profond de celle-ci mais l’attrait de la ville pour la majorité de ses suivants fit en sorte que seulement 2 restèrent à ses côtés.

735-741 : La guerre de seigneurs
Alors que Gogol voyait tout ces gens s’entretuer, il choisit encore de rester neutre et d’aider ceux le méritant. Ainsi, il parvint à protéger une petite parcelle de forêt à l’abri des combats, près d’Héodim.
Ce fut par hasard qu’un jour où il discutait avec les paysans qu’il remarqua un de ses anciens amis, membre de la Flèche. Il l’informa aussitôt que la Flèche était maintenant tributaire d’Héodim et qu’ils faisaient face à une famine. Gogol accepta donc de retourner voir le Seigneur Lanfranc pour voir comment Gaea pouvait aider la population d’Héodim. Il y eut donc une vive discussion et il en ressortit que Gogol aiderait, par ses connaissances de la nature à nourrir la population et que celle-ci, en échange, ne martyriserait plus la nature pour son propre plaisir et veillerait sur celle-ci. Gogol refusa par contre de vivre dans la ville, préférant les bois dans lesquels il se sentait en sécurité.

Alors que la vie en ville commençait à s’organiser, Gogol eut vent de la création d’une université et s’enquit de ce qu’on y enseignerait. Il apprit donc qu’on y visait surtout le transfert des connaissances arcaniques. Un peu étonné de l’absence de matière qu’il jugeait plus importante comme la survie en forêt et le pistage, Gogol s’aventura une fois de plus en ville pour faire part à Lanfranc de son idée d’enseigner ce qu’il savait pour créer des druides qui, à leur tour, pourrait nourrir une partie des paysans et veiller sur la forêt lorsque Gogol trépasserait. Ainsi, le pacte était respecté et les deux partis se voyaient comblés. Tout de suite, l’idée plu et Gogol fut nommé comme membre de l’université. Il passait donc ses journées avec de jeunes étudiants à traverser la forêt et à rencontrer les créatures la peuplant.

Automne 731 :
Suite à la rébellion de la Ligue des 45, du Collège des Sages ainsi que de plusieurs de ses membres, La Flèche envoya Sir Lanfranc en tant que remplaçant de Valdis Lovoth protester au Conseil d’Héodim contre la volonté de Syptosis de faire de Bélénos un voïvodat. Pendant ce temps, le chef malade de la Flèche, Ameseth, fit en sorte que la Flèche se rebella également. Ainsi, les rebelles ralliaient tous ceux qui souhaitaient un Bélénos indépendant et visèrent les forces de Syptosis avec des sabotages, attaques éclairs et des assassinats. Dès après le départ des forces de S et de Lysandre pour la Cour elfique, les rebelles déclarèrent traîtres tous ceux qui eurent accepté que Bélénos devienne un voïvodat et les assassins de la Ligue éliminèrent ceux qui refusaient de se rendre.

732-733 :
Les membres de la libération bélénoise tentèrent donc de mettre en place un nouveau gouvernement bélénois basé sur des principes nobles de liberté, de force, d'intelligence et de sagesse. Ils passèrent donc deux années à mettre des bâtons dans les pattes de la Régence que Sryou et Lysandre instaurèrent avant de quitter Bélénos, minant lentement leur influence. Ils se battaient pour avoir enfin un Bélénos libre et autonome.

Hiver 733-734 :
L’arrivée de la force de Galléon vint détruire tous les efforts pour faire un État centralisé en Bélénos. Le reste de la Régence fut chassé par Galléon et celui-ci était trop fort pour les forces de la libération. Les libérateurs tentèrent tant bien que mal d’organiser la résistance contre Galléon sous une forme de guérilla (fin des actions de la Ligue et des Sages dans ce résumé).

Printemps- Hiver 734 :
Avec le départ de Galléon et son abandon de ses suivants, sir Lanfranc revint immédiatement à Héodim pour prendre en charge la capitale malmenée. Malgré le départ des forces de Galléon, les efforts des libérateurs pour administrer tout Bélénos s’avèrent encore plus vains qu’avant. L’afflux d’immigrés à la capitale rendit la situation difficile à gérer. Avec l’exil de toute autorité légitime, ce furent sir Lanfranc et ses chevaliers qui organisèrent la capitale pour en sauver le peuple. Avec le soutient indispensable de la Flèche et de l’ancienne résistance, il parvint à garder un semblant d’ordre en Héodim. Son camarade Franz Dracheneisen quitta Hyden afin de venir aider contre la famine avec ses connaissances alchimiques. La famine frappa néanmoins la capitale mais surtout le reste de Bélénos et ce fut à ce moment que les seigneurs de guerre commencèrent à s’affirmer.

735-741 : La Guerre des Seigneurs (Bellum dominorum)

Suite à la famine désastreuse de l’hiver 734, la guerre commença entre les divers seigneurs de guerre qui émergèrent en Bélénos. La Flèche tenta de préserver le peuple des massacres et exactions des plus sanguinaires des seigneurs. Hélas, ils ne purent aider tout le territoire de Bélénos et se retrouvèrent rapidement débordés (scission de la Flèche en deux groupes).

Le chevalier Lanfranc, en tant que dernier noble légitimement nommé en Bélénos avant l’anarchie , s’affirma pour défendre la capitale et les campagnes avoisinantes. Lui et ceux de la Flèche qui le suivirent organisèrent un territoire qu’ils gardèrent coûte que coûte contre les hordes pillardes. Leur but n’était pas d’étendre leur influence mais de protéger autant que possible le peu qu’ils pouvaient défendre. La tâche de sir Lanfranc et de ses compagnons fut très difficile mais le fait qu’ils se battaient pour le peuple et non pour la gloire les aida grandement. Ils mirent leurs efforts pour prévenir les maladies, la famine et à repousser les attaques ennemies. Ils se rallièrent bon nombre des Bélénois fuyant l’esclavage, les démons et les seigneurs de guerre tyranniques. Ils demandèrent à ces gens cherchant protection de les aider dans cette mission. Les ingénieurs comme Hébon de la Flèche furent invités à faire des fortifications, les forgerons à faire des armes et les paysans à s’assurer que nul ne manque de pain durant les hivers.

Leur objectif de défense du territoire fut favorisé par les unités d’archers qu’ils formèrent. Les chevaliers bélénois, dont Mercorius, que sir Lanfranc avait adoubés leur donnèrent également une force à ne pas sous-estimer lorsque Lanfranc se décidait de passer de la défensive à l’offensive. Non seulement il les adouba mais il leur apprit comment combattre à cheval, tel sir Corbin des Lys, pour qu’ils soient chevaliers de titre et de fait. Les défenseurs d’Héodim firent également appel aux réfugiés de la Confédération pour gonfler leurs rangs et assurer une activité économique malgré les périls de la guerre. Enfin, pour attirer des mages, leur donnant un avantage contre les Galléonites, Lanfranc fonda une université à Héodim, basée sur l’Université de Jovrine d’où vient Lanfranc, afin d’attirer les mages et les former. Faisant face à des soldats « sans aucune moralité », Lanfranc engagea des roublards de la Ligue et de la Flèche pour aller semer la zizanie dans le camp adverse en utilisant leur avarice pour les tourner les uns contre les autres.

Il eut quand même des combats durant lesquels Lanfranc et ses compagnons durent défendre le futur comté. Dans un premier temps, ils firent face aux tentatives de reconquête des Corbeaux noirs laissés derrière mais dont le retour des Elfes lunaires en 734 poussa à redoubler d’ardeur pour reprendre l’ancienne capitale. Puis ce fut l’anarchie totale en Bélénos alors que de nombreux seigneurs de guerre tentaient de s’affirmer et de prendre Héodim pour eux. Parmi eux furent les restes de la grande armée de Galléon que Lanfranc et ses nombreux alliés repoussèrent victorieusement en 737 à la bataille de Vertalia. Après le départ de Galléon, de nombreux de ses hommes restèrent en Bélénos pour se l’approprier. L’un de ces groupes s’empara du village de Vertalia jusqu’en 737. Toutefois, suite à la bataille, la force galléonite fut sauvée de la destruction totale grâce aux talents d’un homme de l’Ouest nommé Herold. Depuis cette bataille, les forces d’Héodim devinrent l’une des plus puissantes force de Bélénos mais un nouvel ennemi beaucoup plus puissant fit son apparition en 740 : les elfes noirs.

Ayant pris le contrôle du centre bélénois de sous la terre, ceux-ci prirent totalement au dépourvu les forces d’Héodim lorsqu’ils foncèrent vers l’ouest. Contrairement aux anciens adversaires d’Héodim, ils résistaient fort bien aux mages et aux archers mis en avant par Lanfranc. À elle seule, la chevalerie d’Héodim ne pouvait repousser les elfes noirs. Fort heureusement, ils avaient un ennemi encore plus menaçant à l’est : les hommes rats. Puisqu’ils les menaçaient davantage qu’Héodim, les elfes noirs tournèrent le gros de leurs forces contre les hommes rats. Dès lors, les espions d’Héodim firent tout en leur pouvoir pour envenimer le combat entre les deux races malicieuses. Héodim était sauvée et devint une poche de résistance dans le secteur ouest que contrôlent les elfes noirs. En plus, Herold, un talentueux capitaine, rallia les galléonites défaits en 737 pour harceler Héodim à partir du sud-est.

742 : la Paix des Seigneurs (Pax dominorum)

Dès que la guerre commença à s’essouffler au nord, sir Lanfranc favorisa les pourparlers de paix et donna son appui à l’Ordre de Golgoth oeuvrant à cette fin. Ayant connu Vohkev et Valdis, avant leur départ de Bélénos, Lanfranc tenta d’user de cette influence pour aider ceux sous sa protection. Il voulait consolider la partie du territoire que lui et ses compagnons avaient sauvée de la guerre pour ensuite la faire prospérer. C’est avec joie qu’ils virent le conflit se terminer le 27 janvier sous la médiation de l’Ordre de Golgoth. Toutefois, cette paix ne s’appliquait qu’au nord de la province et Héodim était toujours en guerre contre ses voisins à l’Est. Héodim était pris à l’extrémité ouest de Bélénos, aux frontières de l’empire et isolé du secteur Nord par les elfes noirs. De plus, un autre seigneur de guerre menaçait la ville: Herold. Ce dernier ne disposait pas d’autant de troupes que Lanfranc, mais son génie militaire lui permit de représenter une constante menace pour l’ancienne capitale. Isolé et menacé par Herold, Héodim et son seigneur ne purent être reconnus ou inclus dans la Paix des Seigneurs.

Mais suite à l’initiative du secteur nord, Lanfranc revint en demandant à ses camarades et à la population de le faire comte d’Héodim. Ayant déjà été fait noble par Valdis Lovoth, avec la bénédiction de Golgoth par la main de Vohkev, celle de Vaul par un membre de l’Écharpe d’Iris et celle d’Usire par ses frères chevaliers du Lys, Lanfranc sentit qu’il pouvait revendiquer ce titre en tant que protecteur d’Héodim. Plusieurs de ses amis de la Flèche lui donnèrent leur appui. Lanfranc n’avait pas gagné ce titre par la force et la violence mais bien en se ralliant sagement le peuple bélénois pour défendre la justice et la liberté auquel Bélénos a droit. Ainsi, toujours humble, Lanfranc préféra le titre de comte plutôt que celui de duc.

Presque 10 années de guerre et de peine avaient affermi son caractère. C’est un homme mature et aguerri qui revint des négociations de paix avec ses frères chevaliers Mercorius et Corbin à Héodim pour continuer à protéger Héodim et en faire une terre de justice et de liberté.

Ainsi le comte Lanfranc continua à défendre Héodim contre ses voisins du secteur de ce que l’on nomme aujourd’hui, le secteur ouest de la province. Pour cela, il invita le reste de ses camarades de la Flèche (ainsi que de la Ligue et des Sages) à se joindre à lui et s’impliquer à faire de ce comté le plus prospère de Bélénos. Certains vinrent, tel le druide Valeri Gogol, mais d’autres préférèrent ne pas s’impliquer dans la politique, souhaitant garder leur autonomie. Ainsi la Flèche resta un groupe indépendant alors que certains membres se joignirent au comte Lanfranc pour administrer et défendre le comté. Lanfranc fut également rejoint par sa femme Han Wi Tsapa et leur fils Amédée. Lanfranc donna à son épouse un nom tweed et la titra vicomtesse Anne-Sophie.

Malgré la guerre contre Herold et l’isolement du aux elfes noirs, Lanfranc et ses camarades s’empressèrent de remettre en place les infrastructures nécessaires à la prospérité économique et sociale du comté. S’ils rendaient cette seigneurie la plus prospère de toutes, les opprimés des seigneuries avoisinantes y afflueraient pour fuir l’oppression des tyrans implantés ailleurs. Il favorisa aussi la diplomatie, afin d’apporter à Héodim et à son peuple la stabilité à laquelle est parvenu le secteur nord. Sous le leadership de Lanfranc et de ses comparses, le comté d’Héodim devint l’une des plus puissantes seigneuries de Bélénos.

Lanfranc conserva toutefois le vieux rêve de l’indépendance bélénoise qui devint celui d’un Bélénos uni sous un véritable roi. Ne caressant aucunement le désir de devenir lui-même ce roi, il soutient, volontiers mais discrètement, les groupes qui oeuvrent dans ce but de libérer Bélénos du mal et d’y apporter un roi qui saura faire régner la liberté et la justice sur tout Bélénos. Lorsque ce roi serait enfin trouvé, le comte Lanfranc le suivrait pour lutter contre les tyrans.


nota bene C'est la dernière version que j'ai envoyée à Tom et je n'ai pas encore intégré les histoires de Gogol, Mercorius et Hébon (RIP ces deux derniers). Aussi, Herold, le maudit Galleux, figure parmi ceux qui sont dans la paix au nord et c'est lui qui bloque Héodim.

Pour l'intégration de la Flèche, je vois bien un retour du reste de la Flèche durant la mi-guerre ce qui permet à Héodim de devenir plus puissante et d'enfin passer à l'offensive (sous Lanfranc c'est très défensif, avec Ameseth ça passe à l'offensive). Ce n'est qu'une humble suggestion, j'attends de voir ce qu'en pense Ameseth.

PS: cette version est pas mal acceptée par Tom Tom même si je n'ai pas de confirmation écrite.

Je suis d'accord avec ta proposition défensive-offensive. Soyez patients et vous aurez une belle histoire détaillée qui collera avec ce qui est mentioné et qui respectera les valeurs fondamentales de la Flèche (Fraternité, Audace , Sagesse). Je vais probablement (comme à mon habitude) imaginer des actions pour des joueurs importants, alors ce que j'écrirai pourra être modifié si cela ne plaît pas à tel ou tel. Bon travail d'écriture Phil.
Pour Mitch alias P., ton opinion m'est toujours importante alors n'hésite pas à me donner tes commentaires. Le temps est à coller les morceaux entre ce que nous avons construit et ce que la nouvelle génération va construire. En ce sens, je veux donner une histoire solide à la Flèche qui soit représentative des efforts que nous avons investi durant 2 années et demi. Je n'aurais pas voulu qu'elle tombe dans l'oubli entre deux voleurs dans un fossé.

T'as le feu vert pour intégrer Gonpid à ta guise dans l'histoire. Pas de niaiseries de mariage parcontre... à moins bien sur que ce soit avec une naine!

Merci vieux! Tel que tu m'en as glissé mot, Gonpid serait à la tête d'un contingeant qui aura ramené le reste de la délégation urdienne. J'imagine bien qu'ayant retrouvé quelques amis, il ait participé à quelques escarmouches dans les confédérations. Je pense que Partag aurait pu être également du voyage. Au retour, ces forces gonflées par la haine des galléonites et le sentiment de ne plus avoir rien à perdre, auraient produit bien des héros de guerre malgré leur propention naturelle au commerce.

Si ça te tente, un des fantasme que j'avais pour Gonpid était de créer l' EFN, la fameuse Équipe de Frappe Nocturne.

Ok dis comme ça, ça peut porter à confusion... mais le fantasme en question n'a rien de sexuel.

C'est plutôt une troupe d'archers sans pitié ni honneur qui se spécialise en embuscade nocturne à l'arc. Elle est dévastatrice et au service des sombres ambitions d'Ameseth puisque dirigé par Gonpid, son bras droit (et gauche)...

Nice. Je voyais bien quelque chose de sombre et pas aédonite (pas catholique) pour Gonpid. Gonpid est forcément le chef des services secrets et travaille dans un réseau fermé.