Aldor

Voila plusieur mois qu'Aldor a disparut, que le jeunot n'a pas fait irruption dans vos discussion. Pourtant les restes briser de l'épée de son pere n'on jamais été recupéré, pas plus que son armure et son equipement.

Lanfranc, alors qu'il préparait son voyage pour l'hiver, passa devant le campement déserté d'Aldor. Il jeta un coup d'oeil à cette épée toujours brisée.
"Avant de partir, je la mettrai plus en sûreté."Pensa-t-il pour ensuite la mettre dans un petit coffre.

Lanfranc aimait bien Aldor et espérait le voir de retour. Sa démesure et sa fougue n'avait d'égal que sa droiture d'esprit et son courage. Aldor rappelait à Lanfranc sa propre jeunesse désormais si loin.

"Avec de la chance, je pourrai le sacrer chevalier, il le mérite bien!"

Lanfranc prit ses choses et quitta le camp d'Aldor.

Ameseth demanda d'une voix forte et claire:

Quelqu'un sait-il où Aldor a pu se fourrer les pieds? J'espère que son absence pourra être justifiée par une explication cohérente. A-t-il parlé à quelqu'un d'entre vous avant de quitter le campement, si bien que nous sachions si sa carcasse se porte bien? Nous avons fait bien plus pour Guelthier alors que son absence ne datait que de quelques heures.

En cas de réponse négative, il faudra fouiller le secteur mes amis! Je n'ose penser encore au pire même si la bonne fortune de Tharos nous a favorisé jusqu'ici.

Quelque minute a peine suivant les paroles d'Amseth, Aldor fait son entré vers son campement, sa barbe a pousser, ces vetement sont en lambeau, brulé et couvert de boue. Il a une mine etrange, quasiment absente, ces yeux sont rougies par le manque de someille, ces cotes creuser par la faim, son bras droit est lezarder de vieilles plais infectés formant des signes étranges mais meconaissable. Il avance en tibutant quasiment inconscient de ce qui l'entoure.

Lune sage se precipita vers lui et passa son bras dans le dos de Aldor, et le soutient de son epaule.

"Aldor ! Aldor ! mon ami m'entendez-vous !"

Elle reconnais bien c'est symptome, c'est un mauvais esprit qui c'est glisser dans une plaie, il lui faut utiliser des herbes, mais elle ne connais encore aucune de celle qui pousse dans cette region. Elle cherche dans sa tete un moyen de l'aider.

D'une main experte, car elle l'a fait souvent, elle guide le pauvre Aldor vers un endroit confortable ou il poura s'assoir. Ses geste son sur, et securisant.

Heureusement, Lune Sage etait preparer a cela. Elle le ratrapa donc et l'etendit par terre. Elle prit sa gourde, y trempa un boud de ses vetement et epongea les levres de Aldor. Il ne fallait pas le faire boir directement car il risquerait de s'etouffer.

Elle dechira ensuite un bout de sa jupe et en fit une compresse pour eponger son front et le rafraichir.

"Aller cherchez des herbes ou un pretre pour le guerir, je ne connais pas encore celle qui pousse par ici, mais il faut quelque chose pour desinfecter et faire baisser la fievre. Si vous trouver de l'ecorce de saule, sa je crois que vous en avez ici aussi, amenez le moi. J'aurais besoin d'eau bouillante aussi s'il vous plait."

La voix de Han Wi Tsapa se fit autoritaire. Elle savait ce qu'elle fesait, et jamais elle ne ressembla plus a une fille de chef qu'en cet instant. Sur d'elle, princiere, elle degageait une aura d'autoriter. C'etait une meneuse d'homme et dans la medecine elle retrouvait ses reperes.

Lorsque Gogol qui errait seul dans la forêt reconnu la voie autoritaire de Lune-Sage il s'approcha rapidement du campement où il trouva celle-ci penchée sur Aldor. Gogol accourut donc pour voir de quoi il s'agissait et voyant Aldor dans un piteux état et semblant ne plus être tout à fait là, il sortit une plante étrange (un macaroni) et prononça tout bas une prière que les plus proches purent entendre. "Plantes et eau, aidez-moi à donner de la force à cet être chancellant." Alors, on vit des plaies d'Aldor se résorber à une vitesse inouïe. Gogol, fatigué de cet acte s'éloigna un peu du groupe et s'entoura de forêt, se coucha et médita pendant plusieurs minutes.

Ses plais soignées, l'inconsciences d'Aldor se transforma dans un someille agité, ca fievre ne tombait pas.

Lune Sage se tourna vers Lanfranc, le plus proche d'elle, et lui dit sans meme le regarder, continuant a eponger le front et les levre de Aldor.

"Allez me cherchez des ecorce de saules en grande quantiter et vite s'il vous plait, il faut faire baisser la fievre."

Elle se tourna vers Amseth qui etait un peu plus loin.

"Il me faut de l'eau bouillante, allez en preparer le plus rapidement possible pour que je puisse lui faire une infusion."

confiante en ses compagnons, elle ne regarda meme pas s'il le faisait. Elle savait qu'il voudrait sauver leur ami autant qu'elle. Elle se remit a son chevet priant les esprit de les aiders bien qu'elle n'etait pas encore chaman, sa ne pouvait pas nuire, elle entama donc un chant de guerison doux et reconfortant. Elle continua a eponger son front et ses levres a meme l'eau de sa gourde.

Han wi Tsapa regarda l'ecorce qu'avait ramener Lanfranc, ce n'etait pas du saule...

"Le saule est un abres dont les feuille tombe comme de la pluie. Leur feuilles sont longue et effiler, et leur branche mince. Sa forme souvent une sorte de rideau autour de l'arbre."

Ameseth se montra fort agacé de ce que l'état d'Aldor ne vint à s'améliorer et tout au chaudron il parla vers l'eau qui frissonnait en ces termes:

J'ose espérer que vos remèdes et vos prières de bonnes femmes ne vont pas venir à bout de ce pauvre Aldor qui semble livrasser le combat de sa vie. Mes pauvres sans terres, nous n'avons pas le luxe de perdre une seule âme aux dieux alors que notre corps guérit à peine des blessures de sa première année.

J'ose aussi croire que votre orgueil ne vous fera pas progresser vers l'acharnement aussi tôt votre science sera hors d'état. Au premier signe non encourageant, nous avons devoir de veiller à trouver un guérisseur puissant.

Partag, de retour d'avoir été faire le plein de provision arriva et se fit expliquer la situation par Ameseth

Mais voyons! Il faut le nourrir ce pauvre bougre! Lachez moi avec l'écorce de Saule et laisser moi lui préparez un bon bol de ragout version enrichie! Ça , ça va le remettre sur pieds!
Mais ce n'est pas moi parcontre qui va le faire manger, d'ailleurs que tout ceux qui l'ont approché de trop près se tiennent loin de moi! Je ne voudrais pas chopper son rhume, j'ai encore beaucoup de travail d'ici le début de l'hiver qui arrive à grand pas.
Tiens Lanfranc, vous le nourrirez, un fort gaillard comme vous de toute facon, ca ne tombe pas malade!
Et partag parti préparer son râgout...

"Peu importe les remèdes, ce qui compte c'est de l'aider. Lunesage, faites ce que vous pouvez. Je le nourrirai lorsque j'aurai votre bouillon cher Partag."

Lanfranc a écrit:

"Peu importe les remèdes, ce qui compte c'est de l'aider. Lunesage, faites ce que vous pouvez. Je le nourrirai lorsque j'aurai votre bouillon cher Partag."

Du bouillon!*&?&?*?! espèce de bougre inculte d'argylois ignorant! Mon Ragout est très loin d'être du bouillon et mon gaillard il me fera plaisir de manger ta part ce soir, tu te contentera d'écroce de saule ou de boulot ou de ce que tu voudras! Bougre de malotru!

Partag s'en retourne fulminant vers la tente sans regarder derrière lui.


Et tout ceux qui ont touché ce lèpreux n'approcheront pas de ma tente! Maugréa-t-il avant de disparaitre dans le pavillon

Lune sage se tourna vers les autres.

"Allez-y si vous voulez allez sherchez quelqu'un d'autre. Vous n'avez aucune confiance en moi, et bien soit, je preparerai moi-meme mes choses et si vous changer d'idee elle seront, la. Mais de toute facon, qui suis-je moi indigne sauvageonne hein, qu'une petite minable c'est cela ?"

Lune sage depose doucement aldor par terre, se leve et le regard flamboyant, tres decu, et surtout indigner que personne ne lui fasse confiance, elle s'en fut vers les arbres a la recherche d'un saule, le pas digne, la tete haute, ne les regardant meme plus, pas meme Lanfranc.

Lune Sage trouva un saule, il y en avait un non loin de l'autre cote de la rive, elle plongea donc dans la riviere et alla ramasser de l'ecorce de l'autre coter. Elle le mit ensuite dans sa besace et revint.

Elle arriva au camplement encore tremper de sa baignade mais ne semblant pas vraiment realiser le froid qu'il fesait.

Elle se dirigea vers le chaudron qui bouillait, prit un boud de tissus, y mit l'ecorce et la mit a infuser. Elle regarda dans le ciel ou etait le soleil et retourna au chevet de Aldor.

"C'est une bonne idee de prier, mais savez vous quel Dieu ou Deesse venerait votre ami ? Car le mieux encore est de prier le sien, il sera sans doute plus enclin a vous aider."

Elle se pencha vers Aldor et murmura a son oreille tout en tente de refroidir son coprs avec de l'eau et et le fesant boire comme tout a l'heure.

"Tout va bien aldors, nous nous occupons de vous, vous allez vous en sortir, vous etes fort, mais il faut vous accrocher. Nous ne pouvons faire tous le travail, il faut nous aider. Rassembler votre volonter, je sait que vous pouvez le faire. J'ai confiance en votre force."

Je crois bien que Aldor est un fervent d'Usire, l'homme-dieu. Mais de grâce, soyez véloce femme des forêts, que cette rencontre lui soit épargnée.

Bon sang Aldor, dites-nous quelque chose!

"Je ferai tout m'on possible et je n'ai jamais pour habitude de laisser partir quelqu'un sans m'etre battu le plus qu'il me fut possible pour qu'il vivent, et ce n'est pas non plus le premier que je soigne."

Surveillant du coin de l'oeuil le soleil pour savoir quand l'infusion serais prete, elle continua a refroidir le front de Aldor en murmurant des parles.

"Aldor, restez au pres de nous, vous avez encore tant de chose a accomplir pour Usire, pensez a toute les battaille qui n'attende encore que vous, et dont vous deviendrez le hero ! Pensez a toutes ses dames qui ne desireront qu'une chose de vous, que vous leur fassiez la cours, pensez a la renommer qu'il vous reste encore a gagner pour Usire et pour Vous-Meme ! La plus grande battaille c'est maintenant que vous la jouez pour que celle la puisse exister vous devez la gagner, vous devez restez avec nous. S'il vous plait Aldor, il n'est pas encore temps de nous quitter, battez vous a mes cote et nous vaincrons pour que votre grand destin s'accomplissent."

Elle lui parla ainsi a l'oreille pour que lui seule, elle et les dieux entendent ce qu'elle lui dit. Continuant de lui eponger le front, elle l'encouragea au courage, a la force, au desir de vaincre, elle tenta de son mieux de l'accrocher encore a la vie pour qu'il est la force et le desir de se battre pour y rester.

Quand la tisane fut prete, elle en humidifia les levres avec une infini patience, pour la lui faire boire et grace au propriete du saule (acetaminophene) elle esperait que sa fievre baisserais. Elle lui epongea encore et toujours aussi le front d'eau froide pour faire baisser la fievre.

Les herbes De lune sage devait etre fort efficace, car peut de temps apres ces paroles, la fievre disparut soudainement. Aldor ouvrit doucement les yeux et regarda tour a tour tous les gens présents autours de lui. Ces yeux avait vieillis, ces traits c'étais creusé, mais la même bonter d'ame brillait dans ces yeux embuer par la fatigue. Avec un sourire faible sur les levres, il aggripa doucement la main de Lune sage et regarda a nouveau les gens réunis autours de lui.

D'une voix douce mais faibles il parvint a articuler ces mots:

Me pardonerai vous mes amis? Ils m'avaient fait douter... surtout lui... Il est très fort vous savez...

Et il s'endormis cette fois le visage en paix, d'un someille réparateur...

Tous les muscles de la princesse sauvage semblerent alors se relacher. Son patient etait sauver. Elle soufla, et alors le froid sincinua en elle et elle commenca a grelotter dans ses vetement tremper. Elle sourit, par contre, ne semblant pas vraiment encore remarquer qu'elle avait froid, seulement soulager de voir qu'elle avait sauver son ami, que ce qu'elle connaissait etait encore utile ici, malgre leur doute et leur sceptiscisme.

"Il faudra le laisser dormir, il en aura besoin."

Elle se leva, alla chercher ses lourdes peaux de betes qui lui servait de couche et les etendit sur Aldor.

Le chevalier fut également soulagé de la soudaine, mais certaine, amélioration d'Aldor. Contrairement à ce que pouvait croire Lunesage, Lanfranc n'avait pas douté d'elle ou de ses talents. Quoiqu'il en soit, il resta au chevet d'Aldor et se tourna vers Lunesage.

"Quel était donc ce mal qui le rongeait?"

Puis, se tournant vers les autres qui pouvaient être proches.

"De quoi d'ailleurs, voulait-il être pardonné?"

Lune Sage regarda son amoureux en souriant, ce n'etait pas lui dont elle c'etait "defier" mais plutot de ceux qui avait critiquer sa medecine.

"Je ne peut repondre avec certitude, mais je crois qu'il c'est blesser, et que ayant perdu beaucoup de sang, les mauvais esprit de la maladie en on profiter pour s'emparer de sa blessure, puis du reste de son corps. Les herbes que j'ai utiliser chasse ses mauvais esprits."