réunion demander par Han Wi Tsapa

Han Wi Tsapa, après avoir consulter plusieur prêtre semblait maintenant prête a retourner chez son peuple et a lui ramener ce qui pourait être un remède. Par contre, elle avait besoin de gens de confiance qu'elle pourait ramener chez elle et qui pourait aider a purifier le sang des villageois. Comme plusieur prêtre lui avait suggéré, ramener du sang neuf.

Elle se présenta donc devant ses amis, tous réunis au collisé en attendant que la pluie cesse. Elle n'était pas très a l'aise encore sous un "toit" mais tous y était et elle n'avait pas de tente a elle pour s'abriter. Les tarosiens était repartit, elle pouvait donc s'adresser a ses amis.

"Bon, vous savez tous pourquoi je suis parti de mon village. Je voulait trouver un remède a la malédiction qui nous afflige. Plusieur prêtre mon conseiller, et dans ses conseils il se trouve que je doit ramener du sang nouveau dans mon village. Vous êtes tous des gens en qui j'ai confaince, et maintenant j'aurais besoin de vous pour que vous ameniez une nouvelle génération a mon peuple. la plupart des miens sont des femmes maintenant, peu d'homme ont survécu a la malédiction, j'ai donc besoin d'homme pour donner des enfants a mon peuple, mais si les femmes veules venir aussi, elle sont les bienvenue. Elle pouront même participer a la renaissance de mon peuple si elle le veulent, mais je sait que c'est plsu difficile pour nous les femmes qui devont ensuite porter les enfants pendant 9 mois, donc si vous désirer seulement m'accompagner, cela ce fera aussi, vous m,avez montrer que vous étiez digne de confiance.

Je sait que je demande tout de même pas mal de vous tous, mais dans mon village j'aimerais que vous adoptier nos coutume de votre mieux car mon peuple n'est pas encore prêt a recevoir les vôtre, il ne connais ni la violence, ni la jalousie ou l'envie. L'avarice nous est értranger, chez nous tous ce partage sans y penser, car c'est synonime de survie, mais aussi de belle vie. Je ne vous demanderai pas de prendre votre décision dès maintenant, et je ne repartirai pas tout de suite, je doit d'habord me procurer certaine chose. Je partirai dans une lune, seule ou avec ceux qui désireront m'accompagner."

dans son regard, tellement d'espoir. Elle espérait que beaucoup déciderais de venir car sinon, elle ne pourait sauver son peuple. Bien sur, elle reviendrai a bélénos trouver d'autre gens, mais il lui faudrait des gens de confaince, et la flèche avait la sienne. Elle espréait tout particulièrement qu'un certain chevalier n'est pas renoncer a demander sa main a son père.

Naerol s'avança hors de l'ombre et prit la parole:
"Chère Han Wi, en vénérant Gaea je défend l'équilibre même de la vie, cette vie qui semble ne tenir qu'à un fil dans votre contrée. Il y va de mon devoir, en tant que Druide et suivant de la Mère Immortelle, de vous assister du mieux possible dans cette tâche. De plus, comme vous le savez peut-être, je viens d'un clan druidique du Nord lointain dont le mode de vie semble ressembler à celui de votre village. J'ai passé plusieurs années d'errance dans des contrées "civilisées", et la vie de clan ancestrale me manque. C'est donc avec joie que j'accepterai votre invitation."

«Chere Han Wi Tsapa, sachez que malgré que votre nom me soit difficile à prononcer et que je ne sache encore ou votre village est situé, je suivrai le groupe afin de faire ma preuve comme membre à part entière. J'espère que vous savez ce que vous faites car oui, l'équilibre semble devoir se faire rétablir mais il faut aussi faire attention à ne pas trop le faire pencher de votre coté. Pour cela, j'aimerais que vous m'expliquiez un peu ce mal qui frappe votre village afin de bien trouver un remède. »

Gogol se retourna et partit préparer quelques décoctions curatives.[i]

Lossan avait ecouté attentivement avec un air sévere ce que Han Wi Tsapa avait a dire ainsi que la réponse de Naerol et Gogol. Apres un cour silence, il répondit

Il n'est pas question pour moi d'aller enfanter des femmes que je ne connais pas et de plus pour un peuple aux coutumes qui m'ont l'air des plus étrange. Ce que vous demander est la chose la plus insensé que j'ai jamais entendu. J'ai peut etre l'air de vous offensé vous et votre peuple, mais laisser moi vous dire que c'est une offence pour moi de demander cela et je dis ce que je pense haut et fort. Je vous souhaite de trouver le moyen de faire disparaitre cette malédiction, mais sans moi. J'ai des choses beaucoup plus importante a faire.

Lossan avait parler de facon tres calme, toujours avec un air des plus sévere. Quand il eu fini, il quitta la réunion d'un pas décidé et disparu dans le feuillage de la foret.

Cyan ne dit rien, mais quitter son frère et La flèche est hors de question. De plus, il y a un viallge à construire... Non si elle n'avait rien eu d'autre à se procupper et aucune attache elle serait venue, mais...

Cyan se retourne vers Han wi tsa pa et dit :

Votre quête est noble et je vous respecte tous qui irez, je vous souhaite donc que Gaea dirige vos pas. Revenez sains et saufs et que ce peuple puisse vivre dans l'harmonie. Peut-être lors d'une prochaine expédition je vous accompagnerez.

Cyan s'en retourna voir Lossan.

Malone en pleine tergiversation pesa les pours et contres de cette opportunité; un village rempli de gens naïfs et surement plein de trésors dont ils ignorent la valeur, des dixaine de femmes ne voulant qu'une chose .. enfanter et faire mon bonheur
dequoi rendre le plus riche des roi du mohit jaloux
ai-je penser trop fort? .... mais d'un autre coté ... nos projet en terre de bélénos commencent à prendre forme et la situation est idéale pour s'établir comme groupe influent ... le choix est difficile

S'adressant a Ann wi tsapa
C'est avec regret que malone décline votre requète et invitation à partager une expérience rédemptrice et enrichissante. Des affaires urgentes me retiennent en terre de bélénos pour quelques mois. Que Tharos vous souri comme il souri parfois à chacun d'entre nous* et je vous souhaite de trouver les meilleur d'entre nous pour rétablir votre village.......


*À certains plus qu'à d'autre clin d'oeil a Gonpîd

Contrairement à ce qu'il avait promis lorsque pour la première fois il avait entendu parler de cette réunions, Aldor n'est pas présent. En fait voila quelque jours qu'il ne s'est pas présenter au campement.

Virineïa répondit alors à son tour:

Cela fait plus de 10 ans que j'ai quitté ma famille nouvellement établie à Norgaard pour reprendre la vie nomade de mes ancêtres. Depuis peu, je comprend que ce qui a poussé mes parents à quitter leur vie d'errance est un besoin de sécurité et de chaleur humaine. Je suis ici en Bélénos depuis à peine une semaine et j'ai trouvé auprès des gens de La Flèche cette sécurité et ce réconfort qui à fini par me faire défaut à moi aussi, seule dans les Terres des Brumes et le Nord-nord. Je suis las de l'isolement et des longues routes. J'ai envie aujourd'hui de m'établir, de bâtir ce village magnifique que nous imaginons tous comme une ode à la diversité et à l'équilibre de Gaea.

En toute humilité, je ne peux appuyer votre solution tel que vous l'exposez. Les hommes qui viendront engrosser vos femmes le feront pour leur plaisir (malgré la bonne volonté qu'ils vous manifesteront) mais resteront désintéressés de leur progéniture. Quel fardeau imposez-vous aux femmes de votre tribue en les condamnant à élever seule leurs enfants? De qui les petits hommes à naître prendront-ils exemple pour devenir de vaillants chasseurs s'ils sont élevés au milieu de femmes? Comment comprendront-ils leurs responsabilités face à leurs propres enfants après avoir eux aussi engrossés d'autres femmes? Non, l'équilibre ne sera pas restauré. Je crois que la seule solution pour votre clan est de laisser vos femmes partir choisir un compagnon, comme vous l'avez fait avec Sire Lanfranc, et ainsi faire naître de leur union d'amour les enfants qui donneront un véritable avenir à votre nation.

Après toutes ces discussions, Gogol comprit que s'il allait vers le village de Lune-Sage, il devrait enfanter une femme. POur lui, pas question. La chasteté était importante pour lui afin de conserver son lien avec la terre.

Je suis désolé Han Wi Tsapa mais si j'accepte de venir avec vous c'est uniquement pour trouver une solution à votre problème. Ne contez pas sur moi pour enfanter une femme.

Ameseth regarda vers le ciel en espérant y trouver une réponse inspirée de la déesse qui lui avait accordée la sagesse de renouveller son engagement envers la nature. Il n'y trouva que pluie telles les larmes d'un peuple qui souffre et se meurt.

Malheureusement, vous savez que j'ai une nouvelle famille dont je suis fier, et j'ai nommé mes compagnons Flèches ici présents. Ma vie jusqu'ici fut celle d'un errant. Entrant en Bélénos, j'ai compris progressivement que cette terre serait mon attachement le plus viscéral depuis mes premiers vagissements en Terres des Brumes. Ces hommes et femmes avec moi ont ici un projet qui ne saurait souffrir d'un délais dans son accomplissement, et je suis sûr que vous pourrez comprendre l'urgence qu'imposent certaines entreprises. Il en va de notre survie dans cette contrée tenaillée entre le fer et le mensonge. Ce temps alloué par les dieux nous est trop précieux pour le perdre dans une action que je pense vouée à l'échec, alors qu'ici, les promesses de réussite pourront sauver des centaines, voir des milliers de vies humaines. La Flèche construira son refuge qui deviendra un phare pour les égarés de tout Illimune. De cette tâche, je ne puis me soustraire, ni attendre. Ameseth doit rester.

Mais plus encore, j'ai mentionné l'échec probable de votre tentative de repeupler votre tribue qui se meurt. Rappelez-vous Lune-Sage, cette discussion que nous avons eu et qui vous a amenée parmi nous. Armé de la constance des cycles de Gaea, ma position ne s'en trouve point changée. Les dieux vous ont certainement maudits puisque l'homme est un être enfanté pour trouver en son frère l'apaisement et les joies de ses jours. De même, un groupe ne peut vivre dans la plus totale autarcie sans mettre en péril la raison même de son existance, soit intéragir avec ses semblables pour dégager le meilleur du pire. Vous ferez venir le monde en vous et en vos femmes, mais vous retournerez rapidement à l'enfermement que constitue votre manière de vivre. La joie sera des vôtre pour un court temps. Puis un jour la chair de vos enfants ira rejoindre la poussière sur laquelle vous construisez vos maisons. Les dieux laisseront les démons fouler votre terre pour avoir eu l'arrogance de croire en votre capacité de défier les liens qui doivent unir les hommes pendant leur séjour terrestre.

Mais ne vous accablez point. Je ne dis pas cela pour vous faire du tord, ni pour médire sur les vôtres. Votre entreprise fut accompagnée de la vision d'une solution venant de l'extérieur. En mon sens, vous avez mal interprétés la signification de cette perche tendue vers vous par les créateurs du monde. Lune-Sage, écoutez bien ce que je vais vous dire. Votre peuple vivra seulement si vos femmes partent vers cet extérieur et ne reviennent jamais. Il vivra dans le sang d'autres peuples qu'il aura contribué à enrichir de ses connaissances et de ses capacités. Je le dis en toute tristesse car je pense aux miens qui devront faire face aux mêmes défis dans un futur proche. Le temps presse ou il faudra choisir entre éradication et survivance dans les autres. Le temps des grands empires tel que le monde n'en a pas encore connu vient et l'homme sera comme un lion dont l'ambition n'a pas de fin. Notre force tiendra en notre sang mêlé au coeur de Bélénos transpercé par cette Flèche qui tiendra face au monde.

Ma tâche s'annonce lourde, mais mes compagnons sont les plus grands que j'ai rencontré dans ma courte vie. Un empereur n'aurait pas la prestance de Partag lorsqu'il fait un avec Tharos et je vois en Maitre Lossan le futur du genre humain.

Ameseth se retira épuisé, chargé du poids de l'eau, vers le pavillon qu'il affectionnait particulièrement.

Quel éloquence vieux frère, je vois que nous avons eu raison de vous nommer à la tête de notre fraternité!
Dans votre sagesse vous donner la réponse que Gaea aurait émise elle même!
Repousser l'échéance d'une totale décadence ou engendrer par la renaissance une nouvelle force dans le sang des bélénois.
Cette sagesse de Ameseth me pousse chère Han Wi à porter attention à ses paroles et à leurs sagesses, pour le mieux être de vos semblable.
Certaines décisions sont plus difficile que d'autre, mais la route que les dieux nous ont tracé n'est jamais que facilité, plusieurs décisions difficiles nous hantent tous, et la votre sera celle qui changera la vie de ton un peuple!

De plus, la fondation du Village de St-Guelthier ainsi que les travaux d'aménagement qui seront nécessaire seront très prenant pour les membres de La Flèche et je crois que notre pointe aura certaine réticense a voir les flèches s'éloigner trop longtemps.
Puisse les esprits vous portez sage-conseil.

Han WI Tsapa sourit, plusieur avait mal interprété ses paroles.

"Messire, je tient premièrement a vous dire que la plupart des gens de mon village son déja marié, donc il les pères et mères élèverais les enfants a venir comme les leurs, chez nous il n'y a pas autant de cérémonie que chez vous pour la naissance et la ligner d'un enfants. et de plus, mon peuple n'est pas prêt maintenant a venir ici, mais je compte bien au fils du temps convaincre des gens d'ici de venir chez moi et les gens de chez moi de voyager jusqu'ici. Mais avant cela, je veut qu'il soit reconnu ici, je ne veut pas que l'on cherche a simplement profiter deux et du fait qu'il ne connaisse rien a votre monde. C'est d'ailleur pour cette raison que je veut revenir ici et aprendre les moeurs d'ici et peu a peu, je les tranmetterai a mon peuple jusqu'à ce qu'il soit prêt a venir ici. Je sait que l'avenir de mon peuple passe par l'overture, mais ce serait de le tuer que d'ouvrir tout de suite mon peuple a vos coutume. Et pour les enfants, ne vous inquiété pas, il n'y aura aucun probleme même pour les femmes qui n'ont pas encore trouver leur ame-soeur, car c'est toute la communauté qui se charge de l'éducation des enfants, il ne seront pas seulement les enfants d'une seule personne, mais de tous et seront bien traiter, bien nourit et ne manqueront de rien je vous l'assure."

Lanfranc avait écouté chacun qui avait parlé avec attention. Il avait été presque amusé lorsque Han Wi Tsapa lui avait dit pour la première fois la solution pour son peuple. Mais, il se rappela à quel point son peuple était peu nombreux et, s'y connaissant bien en généalogie, il savait fort bien que ça ne serait suffire.

Il s'avança à son tour, toujours avec un regard pensif et finit par prendre la parole.

"Ma chère Han Wi Tsapa. Je crains que je dois être d'accord avec notre sage Ameseth. Votre peuple ne saurait survivre en totale autarcie avec des nombres si faibles. Même si toutes les femmes de votre tribu étaient engrossées par des hommes de l'extérieur, il faudrait que les quelques filles issus de ces unions le soient à leur tour et ce jusqu'à plusieurs générations.

Je m'y connais. Sachez que chez les nobles dont je fais partie, il y a malheureusement beaucoup de cas comme le votre. Je suis fier de dire qu'un peu comme vous, j'ai été épargné de toute difformité parce que mon père et ma mère sont de deux contrées différentes.

Une chose est sure, vous devez retourner auprès de votre peuple afin de lui dire ce que vous avez découvert. Il faut leur accord également."

Lanfranc s'avança ensuite près d'Han Wi Tsapa afin de lui murmurer quelques paroles à l'oreille...

Partag, un sourire mesquin à la bouche se lève:
''aucune difformité seigneur Lanfranc? Ce n'est pas ce que Béatrice ma dit là dernière fois au vieux routard en tous cas....''

Et il éclata de rire!

Partag a écrit:

Partag, un sourire mesquin à la bouche se lève:
''aucune difformité seigneur Lanfranc? Ce n'est pas ce que Béatrice ma dit là dernière fois au vieux routard en tous cas....''

Et il éclata de rire!

Lanfranc tourna légèrement la tête vers Partag. Il aurait bien facile d'ignorer cette baliverne mais Lanfranc joua le jeu.

"Si difformité il y a, au moins j'ai celui que les dames réclâment, contrairement à vous cher Partag Couyenmoin."

Lanfranc a écrit:

Partag a écrit:

Partag, un sourire mesquin à la bouche se lève:
''aucune difformité seigneur Lanfranc? Ce n'est pas ce que Béatrice ma dit là dernière fois au vieux routard en tous cas....''

Et il éclata de rire!

Lanfranc tourna légèrement la tête vers Partag. Il aurait bien facile d'ignorer cette baliverne mais Lanfranc joua le jeu.

"Si difformité il y a, au moins j'ai celui que les dames réclâment, contrairement à vous cher Partag Couyenmoin."

M'enfin, ce n'est pas ce que j'avais cru comprendre, mais puisque vous le dite mon jeune ami....
Et non j'ai l'honneur mon cher, d'avoir mes 3 couilles

"Alors soyons difformes dans la joie!" Lanfranc se mit à rire également

"je sait tout cela, mais je doit preparer mon peuple a survivre pamis vous, cela prendra du temps, plusieur annee sans doute, et je ne veut pas que le choc des culture detruise la notre, mais plutot une fusion du meilleur des deux monde. plusieur des gens de mon peuple, les plus vieux refuseront de partir, mais je crois que les plus jeunes, ceux que nous eleveront auront l'ouverture d'esprit necessaire. il faudra les elever a etre fiere de leur origine tout en etant ouvert au monde exterieur. Il deviendront des voyageur et peut-etre meme s'etablieront-il dans ce monde plutot que chez moi. Et peut-etre des etranger feront le contraire et viendront vivre chez mon peuple pour y rester et prendre femme ou epoux. Pourquoi pas ? et nous redeviendront un grand peuple, et je l'espere seront respecter par les votres. Mais cela ne peut se faire en une journee, ou meme une annee, mais surement sur plusieur generation, mais je doit empecher que mon peuple s'etaigne avant que cela ne soit."

(j'aimerais juste que ceux qui vont venir me le dise par mp que je puisse savoir et cree le "topic" en conscequence... merci)