Les Mémoires de Partag

Sujet: Les Mémoires de Partag 9/7/2007, 23:55

Juillet 731,

Il y avait des lunes que je n'avais rien eu à te confier, à toi qui me lira, mais les événements qui se sont produits dans les derniers jours méritent d'être rapportés tels qu'ils furent et tels qu'ils resteront.

Le soir du 6 de ce mois, nous avons d'abord été contacté par Corneil, Liop et la ligue des 45 , des nouvelles fraîches venant d'arriver de la Confédération. Malheureusement ces nouvelles confirmèrent nos craintes, les villes continues toujours de tomber et nous savons donc que notre chapitre urdien est en danger. Mais la véritable crainte est toujours pour sa propre peau et pour celle de ses frères d'arme, ainsi nous discutâmes plutôt du ''problème'' que nous cause la présence d'homme semblant prier Galléon, dieu que l'on disait mort ou disparu. Ces hommes correspondent parfaitement à la description des envahisseurs qui s'atttaquent aux villes Urdiennes.

La soirée fut fructueuse au niveau des informations qui furent échangées, mais un peu plus tard, alors que nous étions, moi, Ameseth, Lanfranc et quelques autres à contempler notre feu avant de penser à rejoindre nos quartiers pour la nuit, nous fûmes assaillit par des créatures malfaisantes.

Plutôt dans la nuit, des hommes avec de long nez nous avaient déjà mis sur le qui-vive, alors nous avons rapidement réagis. Le plan étant que le druide Mohawk Ménélaus bloque la porte grâce à la capacité qu'il a de se transformer en pierre, loué soit Gaea.

Malheureusement, dans l'emportement, je fus, en compagnie d'Ameseth, bloqué à l'extérieur du fort. Effrayé, nous avons tenté de résister à ceux qui semblaient nous assaillir.

Bien heureusement pour nous ces créatures fantomatiques avec des visages de mort repoussant ne semblaient être là que pour nous effrayer et pour nous transmettre un message. ''Nous reviendrons'' disaient-elles dans leurs affreux rictus irréel.
Plusieurs fois elles nous ont poussé dans nos derniers retranchement tant la peur envahissait nos coeurs.
Ameseth réagissait avec fierté et répondait aux défis de ces créatures, moi je me tenais droit, quand l'une d'elle s'approcha de moi et commenca a m'invectiver de très, très près. Figer, sans savoir que faire j'ai senti en moi la force de Tharos et d'une voix forte et assuré j'ai repoussé ce spectre en prononcant le nom de ma bien aimé divinité.

Fort heureusement nous nous en somme tiré sans rien de plus qu'une bonne frousse et le reste de la nuit fut assé paisible pour que nous puissions reprendre nos forces.

Le début de la journée du 7 eme jour de ce mois fut vécu dans la joie et le plaisir. Ameseth nous mettait moi et Gonpid au défi de faire disparaître l'affreuse statue ''d'or'' que les anciens propriétaires d'Ithild avaient abandonné sur les lieux, ainsi nous décidâmes de la vendre!

Avec l'aide de maitre Lossan, Gonpid transporta donc la statue jusqu'à Danaë pour tenter d'en obtenir de l'alcool. Malheureusement l'affaire ne fut pas reglée puisque l'aubergiste n'était pas présent, la scène donnant lieu parcontre à une hilarante présentation de la statue comme une représentation divine de Tharos par Gonpid.
''Vous n'avez qu'à lui donner un baiser et vous aurez la chance de Tharos avec Vous!'' affirmait-il!

Après avoir fait une offre au Krack des Fils de la Lumière, c'est finalement au village que nous avons pu faire un heureux nouveau propriétaire! Bien que le gain fut mince, une bouteille de vin, d'avoir réussit à obtenir quelque chose contre cette abomination artistique que l'on appelait mon oncle, ce fut grandiose!

Lors de notre retour au refuge, j'entendis Ameseth et Cyan discuter de ce plan dont nous avions parler préalablement, qui consistait à capturer un gobelin pour permettre à Cyan de s'entrainer avec celui-ci. Tharos seul sait pourquoi Cyan voulait s'entraîner avec un gobelin, mais l'idée m'amusait et je décidai donc de partir avec la troupe en direction du Ragnarok...

Nous étions sans savoir que nous avions déjà déclancher les événements qui allaient nous faire vivre le moment le plus dangeureux mais aussi le plus exaltant de l'histoire de notre confrérie.

Les héros naissent des jours comme celui-là!

Lorsque nous pénétrâme dans le Ragnarok, nous étions 14, Moi biensûr, Lanfranc, Ameseth, Malone, Maître Lossan, Lorek, Cyan bien entendue, Gogol, Gébé et quelques personnes rencontré à l'oré de la Forêt qui mène dans cette contrée maudite.

La marche fut pénible jusqu'à ce que nous nous rendions assez prêt du fort de la Hache (du moin je crois qu'on le nomme ainsi). Ameseth et Lossan ouvraient la marche le plus souvent alors que j'assurais l'arrière garde avec des archers dont je ne connais point les noms mais qui sont vaillant. Après avoir rendu à la terre quelques zombies que par la volonté de Tharos j'eu le plaisir d'excorciser,nous reprîmes la route et rapidement le contact avec les peaux vertes se fit, nous étions repérés.

Nous prîmes position de défense et les négociations s'entamèrent. L'objectif étant d'obtenir un gobelin consentant à s'entraîner avec Cyan, nous donnions l'assurance que sa vie serait sauve et qu'il serait bien récompensé. Ameseth, Lossan et Cyan menaient si bien les pour-parlers que nous avons cru à un moment réussir à s'entendre.

Une entente fut d'ailleur conclue.
L'entraînement se ferait, mais ici et maintenant et chacun des groupes assureraient la sécurité de leur combattant.
Ce qui devait malheureusement arriver, arriva. Plusieurs gobelins tentèrent de surprendre Cyan et ils passèrent bien près de la tuer, mais les arcs levés et pointés dans leurs directions les firent reculer un moment.
C'était sans compter sur l'arrivé de d'autres bélligérants...

À leur vue et sous leurs coups nous dûmes reculer, les négociations étaient rompues, mais tout ne faisait que commencer.

À plusieurs reprises nous chargeâmes, mais à chaque fois nous dûmes retraiter rapidement, malgré notre surnombre, du moin en apparence.
Aux gobelins s'étaient joint des elfes noirs ainsi que, comble de la catastrophe, une créature hideuse et mortel que l'on nomme, à voix basse, Daggoth.
Plusieurs de mes flèches ont garni sa poitrine, mais aucune d'elle ne semble l'avoir affecté, il nous projetta au sol alors que ses sbires nous foncaient dessus. Tant bien que mal nous réussisions à garder les rangs et à les repousser. Mais le malheur ne vient pas seul, alors que Cyan déjà était tombé au combat, Ameseth lui-même fut terrassé par plusieurs de ces créatures sans que nous pussions rien n'y faire.
Le sort était jeté, nous n'allions pas abandonner nos amis et pour certain notre famille, à ces créatures démoniaques. Plusieurs fois j'ai dû m'époumonner pour ramener au combat les fuyards, plusieurs fois j'ai invectivé nos ennemis en demandant les corps de nos valeureux alliés.
Mais plus les minutes s'écoulaient et plus la chance de les revoir vivant s'amenuisait, tellement que notre morale chutait, alors que je me froissai même avec le seigneur Lanfranc qui me reprochait ma témérité. Loin de moi l'idée de remettre en doute sont courage, c'est un noble chevalier apres tout, mais jamais je reculerai pour attendre des renforts alors que gisent parmis mes ennemis les corps de deux de mes plus chère amis.
Nous avions heureusement envoyer de rapide coureu chercher des renforts, Malone dans un périple qu'il racontera un jour sur papier je l'espère, courut jusqu'au refuge pour alerter Gonpid et la ligue des 45, nos fidèles alliés.

Pendant ce temps, je désespérais, Ameseth et Cyan étaient perdus, mais je me refusais à abandonner malgré la grande tristesse et la lassitude qui m'envahissait. La mort serait ma délivrance devant tant d'affliction.
Ainsi me préparant à une dernière charge heroïque pour tenter de sauver mes compagnons, j'errais le regard haguard, le coeur ailleur, demandant a Tharos son aide dans cette épreuve.

Alors même que je m'appretais à dire adieu à la vie, j'eu une vision formidable.
Fièrèment, la tête haute et le coeur plein de courage, Gonpid avancait. Accompagné de Malone, il revenait à grande vitesse amenant avec lui la ligue des 45 au grand complet!
Cette vision, sur le moment ne me donna pas le courage qu'elle m'aurait donné dans d'autre circonstance, la mort d'Ameseth et de Cyan était trop douloureuse et voilà que je craignais d'y perdre Gonpid de surcroit.

Mais ce fut rapide, très rapide. Les orcs, elfes noirs et autre vermines démoniaques furent débordés de tout les cotés et rapidement se réfugièrent dans leur forteresse.

Je continuais d'errer en priant Tharos quand un cri retenti jusqu'à mes oreilles, cri que je chérirai comme étant un des plus beau son qu'il m'eut été donné d'entendre. ''Le corp d'Ameseth est ici!''
Sans perdre un instant, le coeur un peu plus léger, j'accouru et trouvai le corp d'Ameseth, sans vie près d'un énorme bucher ou des corps venaient d'être jetés.
On me dira un peu plus tard que le corp de Cyan s'y trouvait, heureusement d'autre y ont vu, car sur Ameseth mes énergies étaient concentrés. Rapidement je demandai l'aide de Malone qui était tout près pour transporter le corp. Je jubilais, j'espèrais qu'il ne soit pas trop tard, il fallait faire vite.
Nous avons couru jusqu'à l'église d'Usire voisine du Krak des fils de la Lumière, ceux ci étant partit avec les vaulistes rejoindre les 45 au fort de la Hache, nous trouvâmes l'église vide.

Je remerciai vivement Usire de nous accorder l'usage de ce lieu saint afin de sauver la vie d'Ameseth. J'en appelai donc à Tharos, je le priai comme jamais auparavent. Mon dieu m'entendit, il me transmit sa chaleur, la mort de cette homme n'était pas irréversible, son âme était toujours avec nous, tout comme son coeur. Ainsi Ameseth Lendur fut sauvé et La Flèche évita de perdre sa première Pointe.

Le courage de mes compagnons, la détermination et la persévérance que j'ai vu en ce jour ne doivent jamais être oubliés, jamais.

Nos aventures n'étaient pas terminés! Alors que nous nous remettions de nos émotions et que nous étions réunis à l'intérieur du refuge, les deux créatures de la veille revinrent. Cette fois elles n'étaient pas seules, plusieurs vagues de zombies assiègèrent le refuge, mais encore une fois bravoure et vaillance vaincquirent ! Nous les repoussâmes allègrement, renvoyant ces corps d'òu ils étaient venus, car à la fin du combat, aucune trâce ne fut visible dans la forteresse ou ci devant.

Au lever du jour nous fûmes gré d'être encore en vie et nous prîmes le temps nécéssaire pour assermenter de nouvelles plumes qui font désormais parti à jamais de La Flèche, ainsi je les nomme pour la postérité : Gébé, Nagalyngaliel l'elfe, Mercorius Es., Ebon l'ingénieur , Mohawk Menelaus le druide et Lorek le guerrier, qui n'était pas présent et qui devra donc porter serment sur les symbole sacré de La Flèche, sont maintenant reconnu comme plume et font parti de La grande famille Fléchienne.

Ainsi se terminèrent les événements haut en rebondissement qui secouèrent les derniers jours de notre groupe.

Sujet: Re: Les Mémoires de Partag 10/7/2007, 01:07

Pouah! C'est très bon mon vieux, très intéressant à lire et franchement original de le faire en mode journal. Je vous dis, il y a des talents dans cette confrérie!
cheers

Sujet: Re: Les Mémoires de Partag 10/7/2007, 10:16

Beau travail Partag.

Mais juste un truc, combien de gens avais-tu à ta petite cérémonie?

Sujet: Re: Les Mémoires de Partag 10/7/2007, 10:27

Seulement trois, Partag, Malone et le mort!

Sujet: Re: Les Mémoires de Partag 11/7/2007, 01:42

super ton résumer

» Partag de La Flèche
» Le songe de Partag
» Nouvelle orientation pour Partag
» Rencontre de Lossan et Cyan avec Partag et Ameseth