Le songe de Partag

Lorsqu'un homme voit ses songes prendre vie, cela mérite d'etre dit, su et transmit, ainsi je relate le fait tel qu'il se sont produit.

Ce soir la j'eu du mal à trouver le sommeil.
Dans la soirée je m'étais pris la tête avec Lanfranc qui refusais de s'excuser pour m'avoir pratiquement inviter à le combattre. J'étais fort troublé, car de grand et fraternel amour j'aimais ce sapré Lanfranc.

Quand je fuis parvenu dans les volutptes du sommeil, un songe étrangement claire m'est venu. Je me tenait scéans devant l'atelier de sabot où j'ai parfait mes connaissances de ce métier dans mes vertes années. J'entendais le martèlement habituel du ciseaux qui fendait le bois.
L'instant suivant je me trouvai à l'intérieur de cet atelier, la scène qui s'y joua me ramena plusieurs années en arrière, alors que je m'y vu dans les derniers moment de ma carrière de Sabotier.

J'étais seul dans l'atelier, à ce moment précis ma mère venait de me quitter, pantois j'étais de ce qu'elle venait de m'annoncer!

Elle avait promis ma main à la fille de Cossolat, un capitaine bien en vue.

''Mère m'étais-je écriai, vous ne pouvez point faire tel chose!''
''Mon fils'' commenca-t-elle sur son air de supplique habituelle,
''Tu sais que les bougres commence à jaser, à ton age, et un si bon parti, encore seul, quel gachi! Sachez mon fils que ce mariage va sauver l'atelier de votre père , lequel, j'en suis marri, à bien gaché la dernière vente envers l'empire par ses obstinations!''
''mais mère! Cela ne sera pas''
Et je lui avait tout dit, sur un ton enflammé, ''Non je ne me marierai pas'' ''je serai un grand guerrier'' ''Mère partez, je vous reverrai avant mon départ.''
Vu le ton que j'avais pris, ma mère parti en disant que je devais me calmer....
À ce moment je venais de réaliser. Je me voyais dans le moment le plus important de ma vie, décidé à partir pour des contrées périlleuses, faire ma rennommée.

Puis tout devint noirceur, je fus projetter dans un abysse qui dura quelques seconde, quand je retrouvai mes esprits (si l'on peut dire ainsi) j'étais dans le refuge de La Flèche, mais étrangement nul ne semblait y être. J'entendis d'abord des murmure, puis plus clairement une voix.
J'approchain de l'endroit d'où elle venait et je vis que c'était la Tête de Tharos elle même qui me parlait.

''Partag, dévoué fils, ton chemin passe par le péril et la dureté. Ta voie est celle du combattant. La chance qui suivra ton chemin viendra d'abord de toi et de ta foi en la vie, elle même signe d'une grande chance. Tu as bifurqué de ton chemin en te tournant vers moi, et tu me serts bien, maintenant je te retourne sur ton chemin, afin que tu me serves encore mieux. Tu seras mon combattant, Sir Partag le Tharossien premier templier de Tharos. Défend tes frères, ne laisse point s'implanter les démons sur tes terres, rends la justice avec ton coeur et la chance sera avec toi sur ta route.''

Quand la tête de Tharos se fut tu, je restai coi.

Apres quelques instants je vis que rien ne se passais, mais je remarquai quelques choses qui dépassait de sous la tete de Tharos, avant d'avoir pu le prendre, je me révaillai.

J'étais médusé devant un songe si clair et si net.

Après avoir englouti quelques fruits, j'observais la Tête de Tharos qui me semblait tout à fait identique à ce qu'elle m'avait paru la veille, soit statuesque.

Je fis une prière à mon dieu, le remerciant de ses miracles.

Il était clair que ce songe ne pouvais être autre chose qu'un contact de sa part!

Je m'approchai de la statue , la pris dans mes mains, il ne semblait pas s'y trouver quelquconque parchemin comme pouvait le laisser croire mon songe.

En replacant la statue , un détail m'attirat, et je vis qu'à l'intérieur même de l'un des rebords se trouvais un petit bout de parchemins dans lequel une piece d'un chad etait envelopper.

Sensible devant ce symbolique chad dans lequel je reconnaissais bien les voies de mon dieu, je depliai le parchemins.

C'étais une carte qui donnait sur quelques liens de l'autre coté de la rivière.

Un X etait tracé à un endroit que j'estimai a environ un 1/2 journée de marche.

J'annoncai donc mon départ à Ameseth, qui ne protesta pas, ne connaissant pas ma véritable destination.

Je fis d'abord un arret pour me procurer un pic et une pelle et je me mis en route vers ce que je croyais etait pour me rendre riche.

La route fut longue et plutot morne, j'arrivai à l'orée d'un petit bois qui semblait être celui tracé sur la carte que j'avais avec moi.
Je reconnu les repères rapidement et su que j'étais au bon endroit.

Et c'est là que le labeur commenca.

Je croyais que je pourrais aisément retirer ce trésor seul, sans aide et faire une énorme surprise à La Flèche, mais je m'appercu que le travail serait plus difficile que prévu.

Le sol rocheux me causa beaucoup de problème et le découragement s'en mela, j'avais creuser plus de 3 pieds a 4 endroits différents quand je vis quelques choses qui brillait au sol.

Un chad!

Ravigoré par ce signe, je creusai avec ardeur à l'endroit ou j'avais trouvé ce chad. Environ 2 pieds sous la surface du sol je touchai quelque chose qui semblait être un coffre. Bien vite je m'appercus que ce coffre ne ressemblait pas aux coffres à tresor typique.

Quand j'eu terminé de le deterrer il faisait environ 2 mètres de long, 50 centimetres de large et a peine une trentaine de centimetre d'épaisseur.

Je commencai à me douter de ce que j'y trouverais!

Sans aucune précaution j'ouvris la boite et je la vi.

Elle brillait d'un éclat comme neuf, dans toute sa splendeur.

Un épée comme je n'en avait encore jamais vu.

Sur le manche etait gravé un T doré et un dé ornait le pommeau.

Émerveillé je la soupesai, parfaite. J'avais de la difficulté à réfléchir, un tel cadeau, un tel message de mon dieu lui-même, mon chemin m'était clairement indiqué, la voix du combattant je devais retrouver.

Je ne retournai pas immédiatement au refuge, je priai plutot pendant quelques jours dans un petit temple de Tharos que je découvris très pres du lieu ou j'avais trouvé l'Épée.

L'un des prêtre à la vue de l'épée s'était approché, m'avait appelé son frère et souhaiter longue vie me nommant le Tharossien.

Quand je revins au refuge, je ne dictai mot de cette aventure, me contentant pour le moment d'éluder les questions sur ma nouvelle arme.

Désolé pour les fautes

C'est quand même cool Tharossien Tu garderas les chemins des brigands

ho! partag le Templier! Tremblez mécréants! repentez-vous ou il vous rossera! et les Flèches voleront à son aide, propulsées par l'arc(ou l'Arbalète) de la justice!

Attention de ne pas en faire une obsession, certains(un ordre de l'empire que je ne nommerai pas) sont un peu ...excessifs à punir un peu n'importe qui et laisser les zombies massacrer qui ils veulent sans rien faire!:p(anecdote marrante qui m'a été rapportée in-game:p)