Un soir de juillet a Fort Ithild

Au milieu de la soirée Partag vint s'assoir près de Lanfranc.

''Lanfranc, je crois que nous devons nous expliquer''
Comme Lanfranc semblait l'ignorer Partag poursuivit:

''Mon jeune ami, laisse moi te dire ceci, je sais que pour toi je ne suis en un sens qu'un roturié, mais sache que la d'où je viens la valeur d'un homme se mérite par son labeur.''

Voyant que Lanfranc semblait porter un peu plus d'attention, il continua:

'' Nous nous sommes connu, il y a des années déjà, vous étiez alors un jeune homme impétueux et fougueux, un peu trop même mais vos idéaux et votre foi étaient pur.
Les années vous-ont elles changé au point de vous brouiller avec un compagnon d'arme, fusse-t-il moi même au point de contre lui les armes vouloir porter??
En moment même de grande tension?''

Lanfranc ne semblait pas du tout apprecier ce discour, mais partag ne le laissant pas partler continua:

''attends, ne te rebique pas trop, et continue d'entendre ce que j'ai à dire , grandis tu seras.''

''J'accepterai tes excuse car il faut cesser ces querelles entre nous pour le bien de La Flèche et c'est bien pour cela que je vous dit tout celà, pour que garder sur le coeur, les malaises pourrissent et deviennent du pu, il faut les évacuer. Alors je t'en pris, évacu le tien maintenant''

Et Partag Laissa enfin Lanfranc parler:

"Valdis m'attend pour notre départ à Héodim. Je passerai le prochain mois à oeuvrer pour le bien des Bélénois."

Lanfranc se leva pour se diriger vers les écuries.

Partag s'écria d'une voix forte et courroucé:

''Ainsi donc votre s'agesse ne vous dicte pas de vous raccomodez, vous préférez persister dans votre juvénile obstination quitte à mettre en péril la belle Harmonie de notre confrérie. Partez donc, allez aider les bélénois. Quelques temps loin de la vue l'un de l'autre nous serons profitable''

Et Partag se leva, et se dirigea brusquement en direction de ses ''appartements''.